L’inspiration, ça ne s’explique pas.
Parfois, une envie impérieuse vous pousse à dessiner un ornithorynque sur son caillou. Pas forcément un ornithorynque sérieux et documenté pour National Geographic, mais quand même quelque chose ressemblant suffisamment à la réalité pour pouvoir évoquer l’incongruité de cet animal, et rendre hommage aux naturalistes qui ont cru à une blague de mère nature face à cet engin à bec, qui pond des œufs mais est un mammifère quand même, avec sa queue de castor et ses aiguillons venimeux sur les pattes arrières. Voilà. Une envie impérieuse, vous dis-je.